Neufchateau Anti Bunkerwaffe
Fort Aubin Neufchateau Belgium
11 days of incredible noise, pain and bloodshed ...years of experimentation with bunker-busting projectiles
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fort exterior | battered concrete |
Belgien – Fort Neufchateau
Waffenerprobungsstelle für Röchlingbetongranaten
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Die Anlagen Battice und Neufchateau dienten dem deutschen Militär als Erprobungsstellen für die neuentwickelten und streng geheimen Röchlingbetongranaten.
Uneinigkeit besteht in der Frage wer der erste Erfinder des Unterkalibergeschosses ist. Man kann davon ausgehen das nicht nur Deutschland an der Idee gearbeitet hat. Die ersten brauchbaren Versuche wurden jedenfalls bei den Skoda-Werken in der Tschechoslowakei durchgeführt. Die Erfindung wurde 1935 in der Tschechoslowakei und 1936 in Frankreich zum Patent angemeldet.
Die deutsche Entwicklung wurde in Feucht bei Nürnberg vorangetrieben.
SEE ALSO:
http://miscellaneous-sonstiges.blogspot.com/2009/02/world-war-2-weapons-roechling-and.html
lg_x20020721-15h41m28s-Y.jpg
Auf die technische Details möchte ich nur kurz eingehen, dafür bin ich zu wenig Fachmann:
Bei den Röchlinggranaten handelt es sich um flügelstabilisierte Geschosse in einer Länge bis 3,6m. Die Geschosse konnten aus Rohre verschossen werden deren Kaliber größer war als der Durchmesser des R-Geschosses. Auch dadurch bedingt erzielte das Geschoß eine enorm Hohe Anfangsgeschwindigkeit.
Die Projektile drangen in den Boden ein, durchstießen den Kreideboden bis ins Hohlgangsystem. Weiterhin wurden auch die oberirdischen Werke damit erfolgreich beschossen.
Problematisch war die Streuung der Geschosse, es stellt sich die Frage, wieviel Geschosse man für die erfolgreiche Bekämpfung eines Ziels hätte einsetzen müssen.
In Neufchateau wurden 21 -und 34cm-Röchling-Granaten erprobt.
Es ist nicht bekannt das jemals ein Geschoß im Einsatz war. Jedoch wurde die Munition für den Einsatz produziert. Offiziell wurde die Anwendung aus Geheimhaltungsgründen untersagt.
Die Weiterentwicklung der Röchling-Granate wurde unter dem Namen "Peenmünder-Pfeilgeschoß" bekannt.
Röchling-Granaten | Offiziell eingeführte Kaliber | - |
1 | 21cm-Rö.Gr.42Be | für 21cm-Mörser 18 |
2 | 21cm-Rö.Gr.44Be | für 21cm-Mörser 18 |
3 | 34cm.Rö.Gr42Be | für 34cm-K.W. (E) (f) |
4 | 35cm-Rö.Gr.42Be | für 35cm-Mörser M1 |
Beschädigungen im Hohlgangsystem | ||||||
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Beschädigungen im Hohlgangsystem |
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ESSAIS DE L'OBUS RÖCHLING SUR DEUX FORTS DE LA P.F.L.
Introduction
Quelle que fut la route prise par l'armée allemande pour envahir un pays voisin, elle devait se heurter à des fortifications de béton: la position fortifiée de Liège, la Ligne Maginot, les fortifications tchèques en furent des exemples bien connus.
En 1914, les Allemands avaient produit la "Grosse Bertha", obusier Krupp de 420 mm, pour bombarder les forts de Liège et de Verdun.
En 1940, le rythme des opérations allait être beaucoup plus rapide, ce qui signifiait que l'on aurait besoin d'armes ayant une plus grande mobilité. Dans ce cas, pour venir à bout du béton, il fallait quelque chose de plus "scientifique" que la simple force des obus de 420 mm de 1914. La technique appliquée lors de la prise du fort d'Eben-Emael était exceptionnelle: elle ne pouvait convenir en toutes les circonstances. De plus, elle relevait d'une ruse de guerre assez facile à parer dans l'avenir.
Malgré ce spectaculaire fait d'armes et bien que la Ligne Maginot eût été contournée, l'armée allemande poursuivait ses recherches en vue de perfectionner son artillerie, de façon à pouvoir détruire les objectifs les plus résistants (1).
(1) II est toutefois intéressant de signaler qu'un régiment a été engagé du 12 au 28 mai 1940 contre les forts de Barchon, Battice, Aubin-Neufchâteau, Evegnée et Pontisse. Son artillerie comprenait entre autre la batterie n° 820 (1 mortier de 420). Cette batterie, située en territoire néerlandais, probablement aux alentours d'Eisden, tirait des obus de 1003 Kg, alors qu'en 1914 les obus de 420 mm type M tirés sur les forts de Pontisse et Loncin ne pesaient "que" 800 Kg. Cette batterie de 420 fut envoyée en France pour hâter la reddition de la Ligne Maginot, elle tira dans le secteur fortifié de Haguenau sur les ouvrages du Four à Chaux, Hochwald et Schoenenbourg.
Les origines
Les aciéries, Röchling de Düsseldorf (dans la Ruhr) étudiaient par ailleurs le moyen de vaincre le béton et l'acier par des tirs de canons, ce qui les avait amené à reconsidérer le problème à partir de ses données fondamentales en tenant compte des connaissances récemment acquises.
L'obus type anti-béton était alors un projectile à tête conique, fabriqué en acier résistant à une pression d'environ 7 T/cm² et contenant assez peu d'explosif à haut rendement, ce dernier étant allumé par une fusée de culot. Afin d'améliorer ses qualités aérodynamiques, la tête conique était coiffée d'une fausse ogive en acier. C'était en fait un dérivé de l'obus anti-blindage dont il différait surtout par la forme de son nez et par sa charge explosive un peu plus puissante.
Le principe de base était simple : concentrer le maximum d'énergie explosive dans la pointe du projectile. Suivant l'expérience acquise, la force de pénétration devait augmenter de ce fait dans la proportion de P/D³, P représentant le poids de l'obus et D son diamètre. Cependant, tant que le projectile était tiré par un canon rayé classique et tournait donc sur lui-même, son poids était limité car son diamètre était déterminé impérativement par le calibre du tube; sa longueur ne pouvait dépasser cinq à six fois son diamètre sans risquer des oscillations dans sa rotation, ce qui se traduirait par une trajectoire instable et imprécise.
Röchling résolut le problème en dessinant un obus très long, stabilisé sur sa trajectoire par des ailettes fixées à son extrémité. Prévu pour l'obusier standard de 210, cet obus n'avait qu'un diamètre de 170 mm, mais sa tête, très dure, était munie d'un manchon de 210 mm correspondant au calibre du tube. Un manchon semblable entourait son extrémité, enserrant les ailettes en acier ressort. Lorsque l'obusier faisait feu, les deux sabots étaient éjectés de l'obus. Au moment où celui-ci sortait de la volée, les ailettes se déployaient et maintenaient le projectile sur sa trajectoire. Cet obus avait une longueur de 2,59 m, -soit 15,25 fois son calibre, et pesait 193 Kg, de sorte qu'arrivé au but avec une trajectoire finale presque verticale (le projectile atteignait la stratosphère), son énergie cinétique était d'environ 32.000 T/m, soit près de 70 T/cm².
Les essais
En 1941, des essais furent entrepris dans le plus grand secret sur le fort de Battice. Les projectiles étaient tirés par un obusier de 210 mm monté pour la circonstance sur chemin de fer, situé a Merkof près d'Aubel. Ceux-ci, sans explosif (puisqu'il s'agissait d'essais), avaient une force de pénétration si considérable qu'ils traversèrent en moyenne 30 m de terre et de craie, le toit de la galerie, le radier de celle-ci pour s'arrêter finalement à 5 m sous celui-ci. Des essais eurent lieu à trois reprises et à chaque fois une équipe spéciale ramassait et emballait les morceaux et éclats de ces obus tandis qu'était effectuée la réparation des dégâts afin qu'ils ne fussent plus visibles.
Aujourd'hui, en faisant très attention, on peut encore repérer les traces de passage de ces projectiles. Par exemple :
- dans la grande galerie des 120 entre B Nord et B Sud,
- au local à munitions de l'A Nord (réparations au toit du local, aux trois étagères, au sol du local).
- au sommet du bâtiment V, deux réparations, l'une suite à l'enlèvement de la cloche d'observation du bloc, l'autre là où est entré l'obus.
Les essais furent alors déplacés sur le fort d'Aubin-Neufchâteau, la zone de Battice ne pouvant être bloquée éternellement, car étant située sur un axe de circulation important.
La caserne souterraine fut prise pour cible. Les résultats furent très impressionnants, les voûtes des locaux furent trouées de part en part, les plafonds effondrés, le sol bouleversé. Une fois les essais terminés, une équipe entreprit la réparation des dégâts mais elle abandonna vu leur ampleur.
Leurs utilisations
Quelque 8.000 de ces obus furent fabriqués et stockés, très peu furent utilisés. On pense que quelques-uns d'entre eux furent tirés sur la forteresse de Brest-Litovsk, lors de l'avance allemande en Russie (1941). On ignore cependant quels résultats ils permirent d'obtenir.
Puis Hitler, ayant appris de quelles performances ces obus étaient capables, en interdit l'emploi sans son autorisation personnelle et formelle: il craignait, en effet, qu'un projectile non éclaté tombât entre les mains des Alliés, qui auraient pu en copier les particularités pour en faire usage contre les défenses allemandes. Comme les commandants répugnaient à demander une telle permission, ces obus tomberont petit à petit dans l'ou bli et ne furent jamais utilisés.
Matériel de tir
l. Les obus Röchling
| Il semble en effet que deux. types d'obus furent produits 1. 21 Cm Rö Gr 42 Be poids: 192 Kg longueur: 2591 mm charge explosive; 2,85 Kg pouvoir perforant: 4 m de béton portée maximum: 11.275 m 2 21 Cm Rö Gr 44 Be poids; 113 Kg longueur: 1677 mm charge explosive: 8 Kg pouvoir perforant: 2,2 m de béton portée maximum: pas d'indication comme le montrent les caractéristiques ci-dessus, il s'agit d'un obus comparable au 21 Cm Rö Gr 42 Be, plus court avec une charge explosive plus importante mais ayant un pouvoir de pénétration plus faible. Obus Röchling grenade 21 Cm Rö Gr 42 Bea) pointe très dure (carbure de tungstène b) bague de guidage avant c) bague de guidage arrière d) logemen t des ailettes e) pièce de fond f) fusée de culot à retard g) corps de l'obus contenant l'explosif |
II. L'obusier
Il s'agit du 21 Cm Mörser 18 (21 Cm Mrs 18 "Brummbär").
C'est un obusier assez peu connu dont la production commença en 1939 pour s'arrêter en 1942, II fut construit par Krupp et destiné à remplacer le "Lange Mörser de 21 Cm" toujours en service en 1940, qui était la version remaniée de l'obusier Krupp de 21 Cm type 1911, qui avait mis à mal les forts belges en 1914.
II utilisait, avec certaines modifications dues au tir courbe, l'affût à double recul du canon Krupp de 17 Cm (17 Cm K 18 Mrs Laf "Matterhorn"). Cet obusier fut monté pour les essais sur un wagon de chemin de fer, probablement afin d'en faciliter le déplacement et d'en augmenter la stabilité.
calibre : 211 mm
longueur du tube : 6070 mm
culasse : à coin horizontal
pointage en élévation : de 0 à +70°
pointage en direction: 16°
poids total : 16.700 Kg
portée maximum : 16.700 m
Bibliographie
Les armes secrètes allemandes, in Collection Les documents Hachette.
German Artillery of World War Two, Arms and Armour Press.
HOGG (I. V.) Fortress History of military Défense, Londres, 1975.
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SEE ALSO:
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AUTOMATIC TRANSLATION
TEST OF SHELL ROCHLING ON TWO OF THE STRONGEST PFL
Introduction
Whatever the route taken by the German army to invade a neighboring country, it would run into walls of concrete: the fortified position of Liege, the Maginot Line, the Czech fortifications were well known examples.
In 1914 the Germans had produced the "Big Bertha" Krupp howitzer of 420 mm, to bombard the forts of Liege and Verdun.
In 1940, the pace of operations would be much faster, which meant that they would need weapons with greater mobility. In this case, to overcome the concrete, it needed something more "scientific" than the mere strength of shells of 420 mm in 1914. The technique applied in the capture of Fort Eben-Emael was exceptional: she could not agree in all circumstances. Moreover, it was part of a ruse of war fairly easy to deal in the future.
Despite this spectacular feat of arms and although the Maginot Line had been bypassed, the German army continued its research to improve his artillery so as to destroy the toughest targets (1).
(1) It is interesting to note that a regiment was hired May 12 to 28, 1940 against the strong Barchon, Battice, Aubin-Neufchateau Evegnée and bridges. His artillery consisted among other battery No. 820 (1 mortar 420). This battery, located in Dutch territory, probably in the vicinity of Eisden, fired rounds of 1003 kg, while in 1914 the shell of 420 mm M-type fired at the forts and bridges Loncin not weighed "only" 800 Kg This battery of 420 was sent to France to hasten the surrender of the Maginot Line, it took in the fortified area of Haguenau in works of lime kilns, and Hochwald Schoenenbourg.
Origins
Mills, Röchling Düsseldorf (the Ruhr) also studied the means of overcoming the concrete and steel by firing guns, which had led to reconsider the problem from its fundamentals in the light of knowledge recently acquired.
The shell-type anti-concrete was then a projectile conical head, made of steel resistant to a pressure of about 7 T / cm ² and containing relatively few high-yield explosive, the latter being ignited by a rocket base. To improve its aerodynamic qualities, the conical head was wearing a fake warhead steel. It was actually a derivative of the anti-armor shells which differ mainly by the shape of his nose and his explosive charge a little more powerful.
The basic principle was simple: concentrate the maximum explosive energy in the tip of the projectile. Following the experience, the penetration force was thereby increase in the proportion of P / D ³ P represents the weight of the shell and D its diameter. However, as the projectile was fired through a rifled classic then turned on himself, his weight was limited because its diameter was absolutely determined by the size of the tube length could not exceed five to six times its diameter without risking oscillations in its rotation, which would result in an unstable and uncertain path.
Röchling solved the problem by drawing a very long shell, stabilized on its trajectory through fins attached to its end. Scheduled for a howitzer standard 210, this shell had a diameter of 170 mm, but his head very hard, was fitted with a sleeve of 210 mm corresponding to the size of the tube. A similar sleeve around the tip, enclosing the finned steel spring. When was the howitzer fire, both shoes were ejected from the shell. When it came to the fly, the wings are deployed and maintained the projectile's trajectory. The shell had a length of 2.59 m, is 15.25-times its size, weighing 193 kg, so having arrived at the goal with a near vertical final trajectory (the projectile reached the stratosphere), its kinetic energy was of about 32,000 T / m, about 70 T / cm ².
Tests
In 1941, tests were undertaken in utmost secrecy on Fort Battice. The projectiles were fired from a 210mm howitzer mounted for the occasion on the railway, located near Merkof Aubel. These, without explosive (as it was testing), had a penetrating power so great that they crossed an average of 30 m of earth and chalk, the roof of the gallery, the strike of that it finally stopping at 5 m below it. Trials were held three times and each time a task force gathered and packed the pieces and fragments of the shells while and made the repair of damage that they were no longer visible.
Today, being very careful, you can still find traces of the passage of these projectiles. For example:
- In the great gallery of 120 North between B and B South
- The local Ammunition A North (repairs to the roof of the premises, three shelves, the floor of the room).
- At the top of the V building, two repairs, one following the removal of the bell observation block, the other where the shell came.
The tests were then moved to Fort d'Aubin-Neufchateau area Battice can not be blocked forever as being located on a major road.
The underground barracks was targeted. The results were very impressive, the vaulting spaces were pierced through and through, the ceiling collapsed, the ground upset. Once finalized, a team began repairing the damage but abandoned because of their size.
Their Uses
About 8,000 of these shells were manufactured and stored, very few were used. It is believed that some of them were fired on the fortress of Brest-Litovsk during the German advance in Russia (1941). It is not known yet what results they achieved.
Then Hitler, having learned what performances these shells were capable prohibits employment without his personal approval and formal: he feared, indeed, a dud missile fell into the hands of the Allies, who could have copied the features for use against German defenses. As commanders were reluctant to request such permission, those shells fall gradually in the BLI or were never used.
Material Range
l. The shells Röchling
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It seems that two. types of shells were produced
1. 21 Inches Rö 42 Gr Be
Weight: 192 Kg
Length: 2591 mm
explosive charge; 2.85 Kg
penetration power: 4 m concrete
Maximum range: 11,275 m
2 Rö 21 cm Gr 44 Be
weight 113 Kg
Length: 1677 mm
explosive charge: 8 Kg
penetration power: 2.2 m concrete
maximum range: not indicated
as shown by the above characteristics, it is a shell comparable to 21 Inches Rö Gr 42 Be, shorter with a larger explosive charge but with a penetrating power weaker.
Röchling grenade shells 21 Inches Rö 42 Gr Be
a) advanced very hard (tungsten carbide
b) guiding ring before
c) guiding ring back
d) t quarters fins
e) number of background
f) rocket base delay
g) body of the shell containing the explosive
II. Howitzer
It is 21 Inches Mörser 18 (21 cm Mrs 18 "Brummbär").
It is a little known howitzer whose production began in 1939 and stopped in 1942, It was built by Krupp and to replace "Lange Mörser 21 Inches" still in service in 1940, which was the revised version of Krupp howitzer 21 Inches type 1911, which had undermined the Belgian forts in 1914.
He used, with some modifications due to fire curve, looking down the double barrel Krupp 17 Inches (17 Cm K 18 Mrs. Laf "Matterhorn"). The howitzer was mounted for testing on a wagon train, probably to facilitate the movement and increase stability.
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Size: 211 mm
Tube length: 6070 mm
breech: Horizontal Wedge
pointing in elevation: from 0 to +70 °
Pointing direction: 16 °
total weight: 16,700 kg
Maximum range: 16,700 m
Bibliography
The German secret weapons, in Collection documents Hachette.
German Artillery of World War Two, Arms and Armor Press.
Hogg (IV) Fortress Defense of Military History, London, 1975.
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